Humanoid Garden ,
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 Veri Syulli. [100 %]

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Invité



Veri Syulli. [100 %] Vide
MessageSujet: Veri Syulli. [100 %]   Veri Syulli. [100 %] Icon_minitimeVen 14 Mai - 14:43

Personnal Data ☼


Nom ; Syulli
Prénom ; Veri
Surnom / Deuxième prénom ; Yulla
Age / Date de naissance ; 18 ans, 17 Juin.



Sexe ; Féminin
Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle
Nationalité ; Française
Groupe ; Clan Lernant



Description files ▬

    Membre ajouté par les chercheurs :


Un bras complet. On lui retira son bras mort, complètement mort de l’épaule à l’ongle. Il n’y avait plus aucune sensibilité, plus aucun mouvement n’était possible. Alors, on l’a coupé, net, d’un coup, sans bavure aucune. Lui donner un nouveau bras c’est lui redonner le mouvement large et élégant du bras que l’on peut faire lorsque l’on danse, lorsque le bras doit le lever lors du premier mouvement de pointe. Ce bras, Veri ne le rendrait pour rien au monde, elle tient trop à la danse. Il est à la fois léger et agréable, il ne demande pas d’effort particulier, c’est une seconde chance dans un second bras. Dans un premier temps, elle ne pensait pas le garder, il lui faisait bien trop mal, mais de savoir qu’il n’y aurait rien vu que l’autre, le véritable, avait été coupé, elle se força à le supporter, elle se força à sentir une douleur lancinante pendant des jours et des jours, avalant pilule sur pilule, contre la douleur. Et puis petit à petit plus rien. Elle apprit doucement à s’en servir, sans pour autant savoir véritablement le faire, elle n’est pas une arme de destruction massive non plus. Elle pourrait il semble qu’il y est plusieurs options, mais lesquelles c’est encore un peu vague. Les médecins parlent d’une lame, mais alors comment elle va sortir de son bras, c’est une autre affaire. Veri l’accepte, tout comme elle accepte sa nouvelle condition. Pas de malaise de ce côté là.

    Description Physique :


« Commençons ensemble, ce périple sensuel qu’est le voyage sur les courbes de mon corps.

Nous partirions de la longue chevelure, d’un bleu bien subtil, les mèches forment de longues et langoureuses boucles, d’une longueur vertigineuse, beaucoup ont tenté de s'y loger, sans succès, beaucoup s'y sont perdus, mourants par manque d’attention, la belle ne s’attardant qu’à sa personne. Puis le navire avancerait, naviguant sur les eaux calmes du front, contournant parfois quelques mèches de cheveux formant une frange, rideaux d’azurs sur le front un peu bombé. Puis ils trouveraient les yeux, bizarrement l’un ne ressemble pas à l’autre, l’un détourne l’autre noie. Les navires s’y sont noyés à juste titre, aucun n’a échappé à ces yeux, les longs cils qui les entourent sont des pièges, ils papillonnent et vous attirent, faîtes attention. Mais par chance pour voilà sur la courbe du nez, aquilin.
Vous voilà aux lèvres, terribles lèvres, elles ont torturés et laissés pour mort de si nombreuses personnes. Petites bouches aux lèvres charnelles vous demanderons beaucoup d’habileté afin de les contourner, contourner une telle tentation, pure folie, et pourtant vous le ferez avec plus ou moins de succès. Puis vous passerez le menton, bonne chose, mais le plus difficile est à venir. Mais là trop ce sont noyés, et vous n’échappez pas à la règles, votre bateau coule à l’orée du décolleté. »


    Description Morale :


Je me contente de ce que l’on me donne, je n’ai pas d’aspirations particulière pour le luxe, mais y vivre ne me déplaît pas. Je réfléchis de manière rapide, j’analyse tout selon mon humeur, elle sera souvent subjective me laissant influencer par mes émotions, mais n’ayez aucune crainte, je ne suis ni impulsive ni très active, seulement lorsque je danse. J’aime le calme et la tranquillité, il est bien rare de voir m’énerver, je préfère trancher par les paroles, certaines sont tellement plus dures que les gestes, que les actions. Je ne parle que très peu, je peux vous laisser parler sans vous couper et sans n’avoir aucune réaction, pour ensuite répondre, et peut être même ne vous répondrais-je pas si j’estime que vos paroles n’en valent pas la peine. Non, je ne suis pas prétentieuse, mais parler pour ne rien dire n’est pas une qualité, c’est un défaut, les bavardages incessants me sont insupportables. Je fais partie des gens qui se passionnent pour la culture, donc vous imaginez bien que ma vie est compliquée en ce moment, mais je ne m’en fais pas. Je ne suis pas de caractère anxieux, ni le genre névrosée. Je suis ouverte d’esprit, quoiqu’un peu égoïste, mon bonheur passe avant tout, je ne peux faire autrement. Sans oublier, que je suis le genre compliqué, qui cherchera forcément quelque chose de compliqué dans quelque chose de fort simple. Mais tout cela, je ne le dirais pas, je le penserais, et me satisferait d’avoir un esprit aussi agile.

J’aime le calme, et lire dans les jardins, mais j’aime par dessus tout, la danse, la belle danse classique celle qui, par les pointes, fait endurer mille souffrances aux pieds, mais je ne m’en lasse pas. Je n’aime pas les bavardages. J’aime les parfums subtils et le thé. C’est simple, j’aime les choses simples et les plaisirs faciles à atteindre. J’avoue avoir un faible pour les vêtements peu importe le style tant qu’ils me plaisent. Je suis française, j’aime le bon vin, la dégustation et non l’ivresse, j’aime avoir le contrôle de moi même. Je suis française j’aime la nourriture, la véritable et non les ramassis de Fast Food qui polluent la gastronomie. Voilà vous connaissez une partie de moi, ou non, qui sait ?



History ♥️


« Je me nomme Veri, voilà un nom bien étrange me direz vous, mon nom est Letton. Il signifie sang, vous savez ce liquide d’un rouge écarlate et magnifique qui coule dans nos veines, et emplit nos artères. Je ne sais pas vraiment pourquoi ma mère m’a appelée ainsi, il faut dire que je ne suis pas Lettone, mais il faut croire qu’elle aimait savoir que personne n’aurait le même nom que moi. Unique, belle et unique, elle le chantonnait souvent. Ma mère, ma mère, mais mon père ? Il est mort, je devais avoir quelques jours, ma mère n’a jamais voulu me dire de quoi, et encore aujourd’hui je ne sais. Je ne pense pas que ce soit si terrible, il faut bien mourir un jour, c’est ce qui nous rend tous égaux, nous allons tous mourir un jour. Désormais, je vais vous parler de moi. Je m’excuse à l’avance si je m’égare, je suis de ceux qui aime se balader dans les méandres de la philosophie et de la question sur l’humanité, aimant les métaphores classiques et plus modernes, aimant montrer l’esprit que l’on possède. Voilà un bel exemple, je vais essayer de tout vous expliquer, de ne laisser aucun détail, du moins je l’espère.
Je suis née, il y a de cela 18 ans, dans une ville, oui comme tout le monde me direz vous. Je suis née très tard dans la nuit, après avoir, selon ma mère, fait endurer le martyr à celle-ci, comment voulez vous qu’une femme accouche avec le plus grand des plaisirs, non c’est impossible. Plusieurs explications sont possibles, mais j’avoue que celle que je vais vous donnez ne me plaît pas vraiment, pourtant, je vais vous la donner, et là je vais m’égarer parce que tout cela n’a aucun rapport particulier avec mon histoire, mais je vais quand même continuer. La femme accouche dans la douleur, après avoir été bannie du paradis terrestre, Eve, qui selon la Bible (Amen) est la première femme sur terre, aurait tenté Adam, première homme, à croquer dans une pomme, soyons réaliste il y a pire comme crime. Mais tout à fait entre nous, j’aurais préféré être condamnée au pêché originel plutôt qu’avoir à hurler pour mettre un enfant au monde. Je suis d’une lucidité, je m’admire.
Je naquis fort tard dans la nuit, alors que ma mère arriva au début de la matinée, c’est pour vous dire … Elle me donna ce nom. Veri. Peut être est ce parce que suite à cela, elle fit une grave hémorragie, me donnant le nom de sang en Letton. J’aimerais que ce soit cette explication, parce que cela voudrait dire, selon moi, que je suis le fruit d’une pure souffrance, d’une douleur véritable et pourtant elle ne m’en a pas porté caution. Mon père n’était pas là ce jour là, il ne fait pas partie des pères qui trouvent la venue au monde d’un enfant fantastique, c’est juste dégoûtant. Il est arrivé le lendemain malgré les complications de ma mère. Il n’est pas de ces pères qui s’extasient lorsqu’une sorte de larve encore pleine de sang qui hurle arrivent à respirer, il n’est pas de ceux qui coupent le cordon, parce que très sérieusement, c’est vraiment dégoûtant un cordon. Ma mère ne me vit que le troisième jour, elle fut opérée et on lui retira une chose si précieuse à une femme, elle n’eut aucune réaction, je pense que c’est trop irréel pour elle à ce moment précis, je ne comprendrais jamais pourquoi elle ne m’en a jamais voulu de l’avoir privée d’avoir un garçon, elle qui avait toujours souhaité un garçon. Elle ne me l’a jamais dit, elle ne m’a jamais fait le moindre reproche. Peut-on reprocher à un enfant une chose qu’il ne comprend pas encore. Après ça, mon père est mort.
Ma mère ne comprit pas tout de suite ce qui lui arrivait, il faut dire que j’étais encore un poupon sans aucune autonomie particulière. Je pense que mon père s’est suicidé, vous allez vous demandez pourquoi une telle pensée, oh, c’est bien simple, j’estime que si mon père était mort de mort dîtes naturelle, elle me l’aurait dit, et si il avait été assassiné je l’aurais su. Le suicide est un mort bien égoïste, surtout lorsque l’on pense que les gens vont bien. C’est très égoïste, quand on y réfléchit je n’ai jamais connu mon père que sous la forme d’une ombre floue, sans bord précis, je n’ai jamais jouer sur les genoux de mon père, je n’ai jamais eu de véritable dîner de famille. Et les festivités étaient toujours un peu tristes. Ma mère ne s’est jamais remariée, elle était pourtant encore très jeune, et très belle elle avait des cheveux bouclés très long d’un brun profond et des yeux verts de beaux yeux verts sans défaut et elle avait le teint pâle, très pâle. Ma mère lorsqu’elle m’a mise au monde n’avait que vingt cinq ans. Bien jeune et mon père était plus vieux, il avait la trentaine je crois. Ma mère avait un caractère fort, et jamais elle n’a laissé le sort avoir dessus sur elle. C’est certainement pour cela que je m’en sors plutôt bien pour une enfant dont le père est mort.
J’ai grandit de manière plus ou moins normale. J’ai reçu pendant très longtemps une éducation exemplaire dans des établissements de bonnes réputations, dans lesquels je sortais souvent avec les honneurs, on faisait l’éloge de mon esprit, de ma réflexion, et ces choses tout à fait insignifiantes rendaient ma mère si fière, et elle souriait, peut être qu’inconsciement c’était ma manière de me faire pardonner pour le mal que j’ai pu lui faire. Elle était si fière de moi, elle était heureuse j’en suis certaine. Et moi j’étais fière de pouvoir la rendre heureuse. Seulement je n’étais pas vraiment comme les autre, j’étais de ces enfants solitaires que l’on n’aiment pas aborder parce qu’ils sont trop étranges, moi mon problème c’est que je ne parlais pas énormément, voire pas du tout. Je ne suis pas muette, mais je n’aime pas parler pour ne rien dire. Alors, vu que je ne parlais pas, je restais dans la classe en attendant que cela sonne. Jusqu’au jour, je me souviens j’avais 14 ans la première fois que l’on m’a parlé pour la première fois, je veux dire vraiment parler à part ma mère, c’était une jeune homme plus vieux que moi, il faut savoir que je suis arrivée au lycée un an en avance ayant sauté une classe lors de mon enseignement au primaire. J’avais 14 ans, je ne parlais pas beaucoup, mais apparemment j’intriguais, je fascinais. Il y a de ces regards que l’on reconnaît parmi mille. J’avais 14 ans. Ce ne fut pas une révélation car je n’ai pas vraiment plus parlé, mais je me suis ouverte aux autres. J’ai appris à me socialiser. C’est en Seconde que j’ai rencontré Helena, elle avait un an de plus que moi, comme tout ceux de ma classe, mais elle me fit apprécier plusieurs choses des nouvelles choses. Et puis il y a eu cet accident.

Je me suis fait renverser par une voiture en sortant du lycée, la dernière année de lycée. J’avais donc 17 ans. Les secondes ont été longues je peux vous le dire, mais la douleur est atroce, on se rend compte alors que l’homme n’a pas de limite véritable dans la souffrance. Dans cet accident, je perdis l’usage de mon bras droit de l’épaule jusqu’au bout de l’ongle. Je n’ai pas vu ma mère, mais j’ai sentis sur ma joue ses doigts, le destin s’acharnait contre elle, comme s’il la punissait de tant de beauté. Et puis on m’a emmenée. Je ne sais où, je ne sais pourquoi. Mais je fus très vite endormie, je n’ai pas lutté, car je n'ai pas pour vocation de lutter contre l'inconnu. Sauf que j’étais seule, tout simplement seule.Déroutant. Je n’ai posé que peu de question, trop heureuse de savoir que je pourrais écrire à nouveau et danser. Ne me blâmez pas de ne pas me soulever, mais malgré cette autoritarisme, ce manque d’équité entre tous, je ne pouvais que les remercier, et payer le prix de ma liberté, mais soyez sans crainte aucune, je n’ai pas perdu de ma superbe, et les lavages de cerveaux ne m’atteignent pas. Je suis docile, on m’a rendue la vie, j’ai donné ma liberté, ne me laissant que pour expression de liberté la danse classique, qui depuis toute petite me guide. C’est sûrement pour cela, que j’ai intégré une villa sublime. Du moins, c’est que ce que j’ai cru comprendre. »





Whatever you are. ♫


Prénom / Surnom ; Solène
Âge ; 17 ans
Où avez-vous connu Humanoid-Garden ? ; Via Pension Shiinu
Qu'en pensez vous ? ; Nyaaah. ♥️



Niveau de Rp ; PLutôt bon
Présence sur /7 ; 2/7 pour l'instant, ça changera après le bac. Uu'
Quelque chose à ajouter ? ; Non.
Code Réglement ; ®️Shade.


Identity pass ♠️


Il y a beaucoup de fautes d'orthographe, mais le reste est parfait. Bravo.
Cette fiche ne sera pas verrouillée pour que les fautes d'orthographe puissent être corrigée.

Amen ; ®️ Shade.



Dernière édition par Veri Syulli le Ven 14 Mai - 17:50, édité 1 fois
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Shade J. Glen
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Date d'inscription : 08/04/2010


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MessageSujet: Re: Veri Syulli. [100 %]   Veri Syulli. [100 %] Icon_minitimeVen 14 Mai - 16:51

    Alors ;

  • Membre + ; Je trouve ça original d'expliquer la façon dont tu as expliqué que Veri tienne tant à son bras. C'est classe.

  • Physique ; OhMyDog. «on tenté de si logé,» Ce ne serais pas plutôt « ont tenté de s'y loger. » ? Si. Hormis l'orthographe qui, on peut le dire, laisse à désirer, j'aime beaucoup l'écriture. C'est hyper fluide. ♥️

  • Psychologie ; Là encore, il y a des fautes d'orthographe mais tu n'as rien oublié, il me semble. C'est bon.

  • Histoire ; Parfait ? Non, il y a encore des fautes d'orthographe. Mais c'est pas mal ;D

  • En GROS ; Il y a beaucoup de fautes d'orthographe, mais le reste est parfait. Bravo.
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