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 La première Scientist ? { Terminée, mes bébés ! }

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AuteurMessage
Emilie M. Rosewald
Emilie M. Rosewald

Scientist
Scientist

Messages : 71
Date d'inscription : 16/05/2010


The Personnage
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La première Scientist ? { Terminée, mes bébés ! } Vide
MessageSujet: La première Scientist ? { Terminée, mes bébés ! }   La première Scientist ? { Terminée, mes bébés ! } Icon_minitimeSam 22 Mai - 0:37

Personnal Data ☼


Nom ; Rosewald.
Prénom ; Emilie.
Deuxième prénom ; Maria.
Age / Date de naissance ; 23 ans, 06/06.



Sexe ;
Féminin.
Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle.
Nationalité ; Franco-Anglaise.
Groupe ; Scientist.



Description files ▬

    Membre ajouté par les chercheurs :

Je n'en ai aucun. Mais j'aurais aimé en posséder un. En fait, je n'ai pas le fameux sang, nécessaire pour bénéficier d'une greffe de membre +. Je n'ai pas le sang Z. C'est comme ça mais bon, malgré tout, je suis contente de pouvoir vous étudier comme bon me semble, vous, les élus, comme je les appelle. Oh, oui, je sais très bien que les membres + ne sont pas forcément utiles, et même douloureux, mais je soutiens le fait que j'aurai aimé savoir ce que ça fait, de posséder quelque chose qui sort de la norme...

    Description Physique :


Je sais ce que vous vous dites; je sais que vous allez vous pencher à l'oreille de votre voisin pour lui murmurer, sans même faire preuve d'un peu de pudeur ou de décence, que oui, je suis petite. Je le sais. Eh bien, vous avez raison ! Mais en tout cas, petite, mais certainement pas naine ! Je mesure un respectable mètre quarante-quatre, quand même. Ce n'est pas rien ! Et vous, grande perche que vous êtes, me voyez tout de même de loin et même, de très loin !
Pour cause, observez donc ma chevelure resplendissante ! C'est sûr que c'est pas facile à « porter », je vous l'accorde. C'est une couleur, aussi. J'avais les cheveux roux très clair, voir carotte mais c'était trop affreux, alors je les ai teints en rouge foncé. En plus, on peut remarquer qu'ils adoptent différents tons selon les périodes et les saisons. Ainsi, quand il fait beau, ils s'éclaircissent de juste ce qu'il faut, avec de beaux reflets rose clair, et étincellent avec merveille ♪ ! Au contraire, lorsqu'il fait gris et qu'une lumière sombre éclaire les rues, mes cheveux virent au bordeau, et perdent ces reflets tout en gardant une certaine luminosité douce. Comment ça ? Bien sûr que je suis fière de cette touffe de cheveux ! Grâce à elle en plus, on ne peut pas feindre de ne pas me voir.

Ensuite, si on s'attarde sur mon visage – chose rare, la plupart du temps, on évite de me regarder avec insistance, comme si ça pouvait me vexer... Je vous jure -, on peut constater, avec horreur pour certains, stupeur pour d'autres ou... Bref... que j'ai vraiment des yeux magnifiques ! Bon, on va peut être le dire autrement, modestie oblige. Mais j'aime mes yeux. Ils ont cette couleur si franche, d'un rouge extrême, et en plus, ils sont assortit à mes cheveux, comme vous l'aurez remarqué. Non, vraiment, j'aime ces grands yeux, mes yeux. Ils sont doux et espiègles à la fois, froids et chauds à la fois, surréalistes et tellement vrais à la fois. Ce ne sont pas des lentilles. Ce sont des yeux pour lesquels j'ai risqué de perdre la vue, et pour lesquels je me suis servie de cobaye à moi-même. Mais je suis tellement heureuse que le résultat soit si bien, si joli ! Enfin, la recette, elle, reste cachée...
De plus, l'on dit souvent que ces deux grands yeux et ce petit regard malicieux et charmeur à la fois, vont bien avec mon visage. Il est rond, et j'ai gardé les traits d'un enfant, un petit nez, une petite bouche arrondie et fine, et des joues qui trahissent mes émotions comme chez les petites filles. En effet, ce n'est pas très pratique, de rougir pour tout et n'importe quoi ou presque, de prendre froid facilement, et tout ça.

Avec tout ça, je dois quand même admettre avoir un look particulier. Et l'impression générale s'amplifie quand on étudie mes vêtements. Vous vous dites « Oh, elle est petite, ça lui ira bien les vêtements mignons et gnan-gnan, petites jupes et débardeur roooose... » Eh bien, je vous le dis à la franco, non. Pas du tout ! C'est de ce genre de style dont j'ai horreur, et puis il faudrait que je me teinde en blondinette pour appuyer sur l'impression niaise... Non, vraiment, ce n'est pas mon truc. Ce que j'aime moi, ce sont les jeans serrés, les vrais ! Je n'ai pas un corps de femme fatale, c'est vrai, je n'ai pas de formes généreuses, c'est vrai... Mais on s'en fiche ! Ce que j'aime porter, ce sont les blousons en cuir, les slims, les chaussures à talons ! Avec tout un tas d'accessoires ça fait vraiment chouette ! ♪

    Description Morale :


Pfuuuh... Déjà que se décrire physiquement ce n'est pas facile, alors moralement... Que dire ? On dit que je suis toujours souriante, de bonne humeur. C'est sûrement vrai, si on me le dit, n'est-ce pas ? Mais, c'est sûr qu'en réfléchissant, je me vois toujours avec un grand sourire. Et je suis peut être parfois espiègle, je vous l'accorde, mais jamais narquoise, et jamais méchante; pour cause : je n'aime pas la méchanceté gratuite. Ça n'a jamais été ma tasse de thé de me moquer des autres, même si je me rends compte ces derniers temps que j'ai un assez bon sens de la répartie. Déjà par question de morale, et parce que je n'aime pas lorsqu'on se moque de ma taille, c'est normal, non ? « Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse. » On ne vous apprends pas ça à l'école ?

J'ai beau être toujours en pleine forme et joyeuse, je n'en ai pas moins un caractère de cochon, par moments ! J'aime décider, et faire la meneuse, j'aime embêter aussi les gens que j'aime bien ! C'est ma manière de leur montrer mon affection, parce que si j'ai beau les montrer, je ne les dis pas à haute voix, ou très rarement. En effet, je suis malgré moi très, mais alors très expressive. Peut être que vous l'aurez déjà constaté plus haut, je rougis pour tout ce qui est gênant, embêtant, et tout un tas de trucs. Mais je pleure, aussi. N'allez pas croire que je suis une pleurnicharde ! Bon... Peut être un peu... Mais je ne pleure sûrement pas pour attiser les autres, en tout cas. Un peu parce que cette épine rentrée dans ma main fait horriblement mal, c'est vrai...

Bref ! Qu'est-ce que je raconte moi ? En tout cas, je sais garder les secrets, c'est sûr ! Donc, vous pouvez toujours tout me dire, je ne répèterai jamais rien, sauf s'il en va de votre survie, naturellement. Hum... Qu'est-ce qui me vient d'autre en tête... Ah, j'adore faire des blagues ! Marrantes, ou pas marrantes, n'importe, mes proches m'ont souvent dis que c'était l'une des principales raisons pour lesquelles je savais éggayer les journées tristes. Faire rire les autres, c'est une de mes occupations préférées. Comment vous décrire ? Je me sens toute heureuse quand on rit parce que j'ai fais ou dis telle ou telle chose, c'est amusant pour moi-même.
Dur dur de parler de soi en restant modeste, quand même ! Mais il y a quelque chose de sûrement moins drôle que tout ça, pourtant, ça résume bien ma vie jusqu'ici ! La drogue. Eh là, je vous vois venir ! Je ne suis pas une droguée avec du noir de trois kilomètres sous les yeux, les cheveux en pétard, ça, non, et vous l'avez bien vu j'espère ! Je prends une drogue hallucinogène. J'ai commencé il y a des années, et je suis toujours là et en pleine forme ! J'aime simplement les effets agréables que ces drogues, également appelées psychédéliques ou psychodysleptiques, me font me sentir légère, et surtout, me permettent de voir le rêve. J'aime ça, les choses surréalistes, eh bien quand je prends de ça, j'en vois tout pleins. Des expériences magnifiques. Mais les effets inverses sont quand même bien présents; difficultés de concentration, pour une scientifique, c'est pas facile. On compte aussi les sautes d'humeur extrêmes, pertes provisoires de mémoire, la vue change un peu : couleurs très vives, objets déformés et flous. Toutes sortes de choses qui sont mauvaises, c'est vrai. Parfois des sensations horribles causées par cette drogue, directement dans le cerveau, me font me sentir mal, et tout ça. Mais c'est trop tard, vous savez, je suis une accro, je ne m'en passe plus. Espérez juste à présent que je ne tremble pas lors d'une opération concernant votre membre +, ce qui aurait des répercussions, je pense, négatives...

Après... Il paraît qu'il faut aussi parler de ses goûts. Allons bon. J'aime un tas de choses, alors tout déballer serat en effet trop long et ennuyeux, alors je rajouterai simplement que j'adore l'extraordinaire. Et les couleurs; j'aime ce qui est joyeux et ce qui est incroyable. Mon chez moi ressemble à une vraie boutique de peluches, surtout de lapins, de serpents et de chats ! Je suis complètement folle des peluches.
Et il y a peu de choses que je n'aime pas. Les courgettes, et le choux. Je n'aime pas les endroits ternes et enfermés, à part les labo. C'est le seul moment ou je préfère que tout soit tranquille, quand je bosse dans un labo sur quelque chose. Sinon, vive la fête !


History ♥️



Page d'un journal datant de 2016.

Papa a encore frappé ! Il me fait toujours rigoler quand il me raconte des histoires, et j'adore les voix qu'il prend pour imiter les gens ! Surtout quand il imite Maman. Mais aujourd'hui, il m'a raconté comment j'étais née. C'était en 2011, donc aujourd'hui je dois avoir cinq ans. Il m'a dit que Maman avait dû se faire ouvrir le bidon pour que je puisse sortir. On fait ça quand les bébés sont des prématurés. Je suis née à sept mois et en fait, je devais être malade mentale. Papa a dit qu'un miracle passait par là à ce moment, et qu'il a chuchoté « Tiens, et si je frappais ? » et il a frappé. Papa l'a entendu. Et après, je suis née mais je n'étais pas attardée comme il dit pour m'énerver, mais j'étais avancée.
Ça veut dire que j'avais une intelligence au dessus de la moyenne. Le miracle a bien fait de frapper à cette porte, parce que je réponds présente ! C'est ce qu'a dit Papa quand il avait finis de me raconter. Il dit qu'il a dit ça parce que je deviendrais une grande scientifique, grâce à ça
!

L'enfant posa son crayon sur la table. C'était fatiguant d'écrire autant. Et puis c'était l'heure du petit-déjeuner. La rouquine se pressa en direction de la salle à manger et arrivant, triomphante, salua ses deux parents. Ils avaient été si comblés qu'ils n'avaient pas pensé à faire de deuxième enfant. Le père, un anglais blond au charme dépassant le rêve, était un grand mathématicien. Quant à la mère, jeune femme aux cheveux roux clair, était une romancière connue.
Cette vie, elle était parfaite. Et elle a toujours été parfaite.

Page d'un journal datant de 2026.

(…) Mais en même temps, je suis contente d'avoir essayer. Il m'a aussi certifié qu'il m'en ramènerait encore et encore si je continuais de bosser à mi-temps dans ce labo un peu pourri. C'est dire, il doit avoir besoin de moi, je croise jamais personne dans les locaux ! Ça se trouve on est que deux, ou trois. Mais tant mieux, on a toujours besoin de calme quand on étudie un truc. Aujourd'hui j'ai encore vu un peu plus de l'anatomie humaine. Mes parents sont ravis que je voie des boyaux toute la journée, il paraît que c'est un métier d'avenir. Scientifique... ça m'plait bien. Pour la drogue que j'ai prise aujourd'hui, je ne leur ai pas dis. Et je ne leur dirai pas, ils ne doivent pas s'en douter, et ils ne le sauront jamais. De toute façon, c'est pas comme si j'allais devenir une droguée.

C'était comme un rêve, même si j'en ai pris très peu. Et j'avais pas confiance, donc en prendre trop, ç'aurait pas été intelligent du tout. Mais là, c'était super chouette. En fait, les vieux murs du labo ont pris des couleurs, c'était impressionnant, je n'en croyais pas mes yeux. Des plantes ont grimpé les parois, quelques lianes descendaient du plafond, et un espèce de papier peint représentant un espace immense s'est dessiné. Résultat, on aurait plus dis une pièce étroite et grise, mais une forêt magnifique qui s'étendait à perte de vue. Et personne pour y semer la pagaille, c'était le rêve. Les couleurs aussi étaient époustouflantes, supers vives. J'ai dû m'asseoir sur un siège rouge sang, je me sentais bien mais fatiguée. Mes paupières se refermaient toutes seules, et en même temps j'avais envie de courir partout, l'espace me semblait vraiment réel. Toutes les outils pour découper un corps se transformaient en des espèces de sushis bizarres, de toutes les couleurs, et j'entendais des voix. Il me semblait entendre mon père imitant ma mère, comme autrefois. Il prends une voix de canard. Dire que je me marrais pour ça !
Après, je ne me souviens plus trop trop. Je distinguais de plus en plus mal les machines, les objets, et tout et tout. Le gars qui m'avait embauchée m'avait laissée prendre conscience par moi-même de ce qui se passait et s'était cassé, il me semble. Je sais que je me sentais par contre mal niveau physique. J'avais la bougeote et ma jambe tremblait. Quant à mon esprit, impossible de mettre à bout deux mots, et impossible de réfléchir. J'étais donc restée là à observer cette nouvelle chose pour moi, j'avais de temps en temps envie de tout balancer. De tout casser. Et la seconde d'après, je voulais absolument rentrer chez moi pour serrer mes peluches dans les bras. Ou alors ma mère, ou mon père... En réfléchissant, c'était pas une bonne idée, j'ose pas imaginer leur réaction si j'arrive en titubant, souriante et paniquée à la fois. Sans compter que même si je me sentais légère, j'avais quand même du mal à rester debout. 'Pour ça que je m'étais assise, en passant. J'avais du mal à prendre de grandes respirations. Mais je me sentais si bien. Plus aucun soucis, plus rien. Juste.. Moi et mes pensées, moi et mes rêves. Ça me tenterai, c'est sûr, d'en prendre à nouveau.


Page d'un journal datant de 2028.


Pfiou, cette fois c'est sûr, contrat bouclé ! Je vais travailler six jours sur sept dans un des plus grands laboratoires scientifiques de France ! C'est vraiment super, super, super ! Ils m'ont remarqué il y a à peine cinq mois déjà. C'est trop bien. De plus, à la fin de l'année de mon contrat, on m'a promis une année d'essai dans un hôpital spécialisé, parait-il. Pour des patients sûrement très malades psychologiquement. Vais-je pouvoir les étudier et voir ce qui diffère chez eux ? Tout ça me rend excitée et heureuse, non, vraiment, j'avais trop besoin de l'écrire, parce que sinon j'aurai été obligée de le crier. En parallèle, je continue mes études, mais bon, j'en sais autant que mon ancien directeur du labo', et j'en apprendrai plus, et encore plus cette année, yahouuupi !
En plus, quand ils m'ont donné l'enveloppe, je ne pensais absolument pas à un nouveau contrat directement après celui-là. Je n'ai jamais entendu parler d'un hôpital spécialisé, c'est peut être un endroit où on fait des expériences sur des humains qui sont payés pour ça. Je n'ai encore jamais étudier quelqu'un de vivant, d'habitude c'est souvent des molécules, ou des corps morts. On verra, mais ça m'a l'air amusant ! Les humains sont si intéressants !


Des humains ? Presque ! Des humains spéciaux, en tout cas. Emilie venait de recevoir une invitation à travailler dans le fameux « hôpital spécialisé ». Elle y resta quatre ans, gardée loin de sa famille. Question de sûreté. Il ne fallait pas qu'elle dévoile les secrets de cet « hôpital spécialisé ». Elle s'y plaisait de toute façon, et n'avait pas envie de partir. Ses études prirent fin en 2030, elle savait déjà ce qu'elle aurait pu savoir en prenant le temps de rester encore quatre ans là-dedans. Donc, perte de temps inutile. Emilie continuait à prendre la drogue, c'était son petit plaisir, comme vous et le chocolat ? C'est tout.

Au bout des quatre ans, on lui demanda d'aller à Humanoid Garden, le lieu où résidaient les personnes ayant reçu leur membre +. Emilie connaissait bien les méthodes de l'hôpital, elle se doutait qu'un endroit comme ça existait. Le rêve continuait, pour elle. Voir des choses du genre était un privilège, et elle aimait ça. Être privilégiée, tout comme elle aimait voir l'extraordinaire. Elle n'en revenait toujours pas tellement c'était immense, sa vie elle-même était immense. Après un rapide aurevoir à sa famille, elle se rendit donc dans cet endroit magique. Incroyable. Ou tout ce que vous voulez.

C'est simple, il y avait ce qu'elle aimait. Ce pourquoi elle se passionnait. La science, le fantastique. La réalité, le rêve. Et tout ça dans la joie et la bonne humeur. ♪



Whatever you are. ♫


Prénom / Surnom ; Aza.
Âge ; 14 ans.
Où avez-vous connu Humanoid-Garden ? ; Euh... *a oublié*
Qu'en pensez vous ? ; Graphisme à tomber, contexte intéressant et bien développé !



Niveau de Rp ; Pas à moi de juger. D:
Présence sur /7 ; 6. Le 6, c'est le bien.
Quelque chose à ajouter ? ; On peut RP à la 1ere PS, hein ? x'D
Code Réglement ; Bon, par Sean Solaris.


Identity pass ♠️


Alors alors. Que dire, c'est une très belle fiche. Elle est bien posée sur les base du personnage prédéfinis, et tu m'impressionnes en ce qui concerne la drogue hallucinogène ôô. On dirai que t'en a déjà pris, tellement ta lecture est agréable et fluide !

Je valide avec joie ~ ♪
© Sean Solaris

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